Le Formaldéhyde interdit dans tous les objets pour enfants … sauf dans les vaccins !

Je voudrais partager avec vous un article reçu dans la newsletter « Alternative Santé » d’Alexandre Imbert écrit par Michel Dogna, dont les références sont en bas de cet article.

« Les législateurs de l’Etat du Minnesota ont décidé que le formaldéhyde, agent cancérigène connu et redoutable, était trop dangereux pour qu’il puisse se trouver dans les produits pour enfants.

Conformément à l’article 325F.175–(HF458), les produits contenant du formaldéhyde seront interdits à la vente à partir du 1er août 2014.

Comment se fait-il que le formaldéhyde soit interdit dans les jouets et les vêtements pour enfants et qu’il puisse encore se trouver dans les vaccins ? On reste perplexe.
Les législateurs ne veulent pas que votre enfant puisse jouer ou mettre dans sa bouche des produits qui contiennent du formaldéhyde, mais si votre médecin injecte un vaccin contenant du formaldéhyde, là il n’y aurait aucun problème ?

On peut d’abord se poser la question de savoir pourquoi on trouve du formaldéhyde dans les vaccins. En fait, ce produit chimique a été utilisé dans le processus de fabrication des vaccins pendant plus d’un demi-siècle. On a commencé à l’utiliser pour inactiver le virus de la polio dans les premiers vaccins mis au point par Jonas Salk à la fin des années 1940 et au début des années 1950.

Après avoir été utilisé dans le vaccin polio, le formaldéhyde a été largement utilisé dans la fabrication des vaccins pédiatriques. Tous en contiennent de petites doses aujourd’hui comme vous pouvez le vérifier sur site de l’Hôpital pour enfants de Philadelphie.
Ce sont de petites quantités, bien sûr, mais le calendrier des vaccinations multiplie les doses injectées.

Que disent les experts officiels ?

D’une part, la recherche sur le site de l’Environmental Protection Agency (EPA), nous met en garde en disant : « Le formaldéhyde peut endommager les cellules en se liant à l’ADN et ainsi former des adduits ADN de formaldéhyde ; ce processus peut interférer avec la réplication de l’ADN et conduire à des mutations comme à des tumeurs cancéreuses. »

Cela devrait être extrêmement préoccupant parce que dans chaque notice de vaccin, on peut trouver le passage suivant « Ce vaccin n’a pas été évalué pour ses effets cancérogènes, ses potentiels mutagènes ou l’altération de la fertilité. »

L’autre aspect est l’argument avancé par la FDA, qui justifie la présence de formaldéhyde dans les vaccins est le suivant : « La quantité de formaldéhyde présente dans certains vaccins administrés aux nourrissons est si faible par rapport à la concentration qui se produit naturellement dans le corps qu’elle ne pose pas un problème de sécurité, selon une étude utilisant un modèle mathématique mis au point par des scientifiques de la FDA américaine. »

Mais ce modèle mathématique (tout à fait théorique) a-t-il été le seul critère utilisé pour déterminer si le formaldéhyde ne présentait aucun danger quand il est injecté à des bébés ?

Par ailleurs, de nombreux pharmaciens recommandent de ne pas mélanger les médicaments.
Les vaccins ne sont-ils pas après tout aussi des médicaments ? Quels sont les effets synergiques de vaccins multiples, d’ingrédients multiples comme le mercure, l’aluminium que l’on injecte souvent en même temps à des bébés ?

A noter aussi que la littérature pharmaceutique met en garde les scientifiques arrogants par rapport à de grandes hypothèses concernant l’impact d’ingrédients « dits inoffensifs » sur les enfants.

Pourquoi ont-ils un passe droit ?

Si la législature est préoccupée par les vêtements ou les jouets d’enfants qui contiennent du formaldéhyde, comment peut-on honnêtement accorder un passe-droit à des produits pharmaceutiques, à ingérer ou à injecter, qui en contiennent ?

Les responsables gouvernementaux ne connaissent ni le nom ni le visage de votre enfant. Ils se préoccupent de garder leur poste en veillant à respecter les politiques mises en place.
Et n’oubliez pas : s’il arrive que votre enfant soit victime d’un effet secondaire de vaccin, les fabricants, eux, sont protégés par la loi. »

Michel Dogna

Source : Alternative Santé – la newsletter du jeudi d’Alexandre Imbert
Si vous désirez recevoir, chaque jeudi, la newsletter « Alternative Santé » suivez ce lien